Dans la même veine, les analystes financiers ont sousestimé la vigueur du repli des taux d’intérêt. Notons au passage que les économistes du Credit Suisse ont bien moins surestimé la tendance du PIB suisse que celle d’autres pays (comme les États-Unis) ou de la zone euro. Possible explication: les pronostics des économistes Credit Suisse pour la Suisse sont meilleurs tout simplement parce qu’ils connaissent mieux le sujet. Mais pourquoi les analystes – y compris « les indigènes » – surestiment-ils nettement plus la croissance aux États-Unis ou encore dans la zone euro?
Dans cette édition du Moniteur Suisse, Credit Suisse présente les prévisions d’automne pour l’économie helvétique et analyse le contexte mondial.
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