La pandémie mondiale de coronavirus a accéléré la digitalisation des banques, offrant ainsi de nouveaux moyens de servir les clients. Elle a également eu pour conséquence que des millions de personnes supplémentaires travaillent à domicile. Ces deux éléments ont été exploités par les fraudeurs, et les taux de fraude ont augmenté dans le monde entier. Un rapport récent montre une augmentation de 66 % des escroqueries au cours des six premiers mois de cettefor bi année, par rapport au dernier semestre de 2019.
Dans ce contexte, NetGuardians a levé CHF 17 millions de nouveaux fonds pour répondre à la demande croissante de son logiciel de lutte contre la fraude. La start-up de Y-Parc compte y parvenir en renforçant sa position sur les marchés existants et en développant son modèle d'abonnement au logiciel-service (SaaS). Parmi les principaux investisseurs figurent le groupe Pictet, client de NetGuardians, ainsi que le groupe d'investissement privé ACE & Company.
La dernière levée de fonds intervient quelques semaines seulement après l'inclusion de NetGuardians dans le Market Guide for Online Fraud Detection 2020 de Gartner, le rapport Enterprise Fraud Management in Asia Pacific de Forrester et dans la liste Chartis RiskTech 100.
Lutter contre la fraude grâce à une IA plus intelligente
Fondée en 2007 et basée à Yverdon-les-Bains, dans le canton de Vaud, NetGuardians aide les institutions financières à lutter contre la fraude dans plus de 30 pays. Plus de 60 banques, dont l'UOB et Pictet & Cie, font confiance à la solution d'intelligence artificielle (IA) plus intelligente de NetGuardians pour prévenir les transactions frauduleuses en temps réel. NetGuardians est le partenaire de prévention de la fraude des grandes sociétés de logiciels bancaires, dont Finastra, Avaloq, Mambu et Finacle. La société possède également des bureaux à Singapour, au Kenya et en Pologne, et emploie environ 90 personnes.
