Les intervenants sont unanimes sur le fait qu’il faut commencer par se poser les bonnes questions – et il y en a beaucoup: que veut-on vendre, où, à qui? De plus, il y a les difficultés liées aux formalités à accomplir (ex. TVA), aux frais d’expédition, aux retours, au lieu de production, etc.
On verra également qu’un e-business ne se développe pas du jour au lendemain, mais qu’il demande beaucoup de ressources financières et de temps notamment pour développer les relations avec des partenaires locaux. L’e-commerce est donc un engagement à long terme, qui nécessite des investissements et une réévaluation à chaque étape de la chaîne de valeur. Le webinaire pointera aussi les différences entre les marchés développés (au pouvoir d’achat élevé et stable, axés sur le confort: ouest et nord de l’Europe) et les marchés moins avancés (au pouvoir d’achat moins stable et moins élevé, axés sur la sécurité: est et sud de l’Europe).
Les intervenants:
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Nadja Kolb, modératrice, conseillère Allemagne et Royaume-Uni/Irlande, S-GE Zurich
«Il est très important d’observer les grandes plateformes B2C, mais aussi les "héros locaux" comme Galaxus.»
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Rolando Casanova, Managing Director, Internel (Pologne)
«Les entreprises échouent en général parce qu’elles ne se posent pas les bonnes questions.»
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Andreea Dereli, Tax and Legal Services Manager, PricewaterhouseCoopers
«La législation européenne va beaucoup changer dans les années à venir.»
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Marc Weltmann, fondateur et Managing Director de Nexidée
«Le marché français est bien plus vaste que la France métropolitaine.»
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Stefano Masiero, fondateur et CEO d’E-Business Consulting
«Dans notre pays, les clients souhaitent une flexibilité totale: 57% de l’e-commerce en Italie se fait par smartphone.»
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Wolfgang Schultz, fondateur et CEO de SCHULTZ Digital GmbH
«Si votre client ne sait pas que votre produit peut résoudre ses problèmes, il ne l’achètera pas.»